Par Maïmouna TANKOANO /Burkina Faso
Du 18 au 23 octobre 1999, s'est tenu à Conakry (Guinée) un séminaire - atelier sur les techniques de l'information et de la communication.
Cet atelier a été organisé par l'Association Mondiale école instrument de Paix (EIP), à l'adresse des sections nationales africaines; sous la responsabilité technique de la section EIP-Quebec et de ISOC Guinée.
Les participants(es) étaient:
Gabriel SIAKEU du Cameroun
Saliou SARR du Sénégal
Joséphine AFAGNON du Bénin
Maïmouna TANKOANO du Burkina Faso
Véronique TRUCHOT du Canada
Jean HENAIRE du Canada
Monique PRINDEZIS Secrétaire générale de l'EIP
Dans l'ensemble, l'atelier s'est bien déroulé, tant au niveau des contenus que de l'organisation, malgré le non fonctionnement de l'Internet à Conakry le 1er jour.
Pour ma part, je pense les objectifs ont été atteints. En effet,
----Des suggestions----
*Compte tenu du temps qui a été très court, à mon avis, je suggère qu'il y ait un approfondissement de la formation, même si je reconnais que seule la pratique est et restera le meilleur moyen de perfectionnement.
*que l'EIP/ Québec prenne en charge toute la formation dans ses aspects techniques
*Que nous mettions en place, et ce, le plus vite possible, nos pages que nous avons commencé à créé à Conakry.
Par Saliou Sarr / Sénégal
Latelier de Conakry en Guinée sest déroulé dans une bonne ambiance EIP, de convivialité, de grande chaleur, damitié, mais aussi de travail exaltant.
Latelier nous a permis de nous familiariser avec Nets Cape Comunicator notamment avec le langage HTML, la technique délaboration de LIENS entre deux fichiers, entre un texte et un site, linsertion dimages et comment mettre les pages web en ligne, à laide de protocole de transfert de fichiers(FTP), bref le séminaire nous a permis dacquérir des rudiments, des techniques pour créer des pages web, déchanger.
Bravo à léquipe dencadrement, à la cellule de proximité avec les jeunes formateurs mais surtout à lEIP/Quebec, cependant pour approfondir ces connaissances et permettre un échange plus efficace entre EIP, il ya certes lauto formation mais nous estimons quil est nécessaire dorganiser un autre séminaire de consolidation.
Merci à LEIP /Guinée pour laccueil chaleureux, à la Fondation du Devenir, au Réseau ANAIS et lencadrement de lEIP/Quebec.
Par Gabriel SIAKEU / Cameroun
Du 18 au 22 octobre 1999, l'EIP-Cameroun, à travers son président, a pris part aux cours de formation des responsables des sections africaines aux Nouvelles Techniques d'Informations et des Communications.
Face aux progrès de la technique et de la technologie, l'éducation aux droits de l'homme, objectif premier de l'EIP, se doit de s'adapter à cette mouvance. Par conséquent, il n'est point besoin de s'attarder sur l'importance incontournable de l'Internet et sa contribution dans la transmission, la diffusion des informations, notamment en ce qui concerne les nouvelles techniques d'enseignement des droits de l'homme, nécessaires au CIFEDHOP et aux activités des sections nationales de l'EIP à travers le monde.
C'est ce qui précède qui justifie certainement l'organisation d'un séminaire de formation à l'utilisation de l'outil informatique et de l'Internet en particulier.
Pendant 5 jours, nous avons été édifiés aux immenses capacités de l'ordinateur et avons été initiés aux expressions auxquelles nous devons désormais nous familiariser telles: web, site, lien, html, source, page en ligne, navigation, onglet, etc.
A cet effet, c'est le lieu de remercier très chaleureusement nos formateurs de MIRINET-Guinée pour leur disponibilité. Mes vifs remerciements vont à tous ceux qui ont contribué matériellement ou moralement au succès de ces assises, à Monique Prindezis, SG de l'EIP et surtout à Véronique Truchot et Jean Hénaire pour leurs talents, leur acharnement au travail, la bonne organisation des travaux et leur souci permanent à nous faire comprendre les cours.
Nous avons donc appris à Conakry. Nous n'avons pas la prétention d'avoir tout maîtrisé. Mais nous sommes capables de l'essentiel: naviguer sur les sites, rechercher les informations, mais aussi concevoir les textes et les mettre en ligne.
En revanche, plusieurs problèmes se posent qui empêchent la maîtrise de l'outil Internet.
1.Nous qui n'avons pas de ligne téléphonique, serions obligé (bien que possédant un
micro-ordinateur personnel) d'aller payer les services d'un cyber-café privé. Et là,
malgré toute notre bonne volonté, nous n'aurons pas l'occasion ou les moyens
d'appliquer toutes les leçons apprises.
2.Etant considéré comme un formateur (car à notre tour, nous devrions former les autres membres de l'EIP-Cameroun), il nous semble qu'il nous faut encore plus de
connaissances que celles (déjà assez bonnes) que nous avons reçues en Guinée.
Tout en remerciant à nouveau les organisateurs de la formation de Guinée, nous souhaitons qu'une autre rencontre de cette nature se tienne une fois de plus pour renforcer nos connaissances et surtout renforcer les liens entre les sections nationales pour plus d'harmonie, d'efficacité et de rendement des sections africaines de l'EIP.
Par Joséphine AFFAGNON/ Bénin
Réunis à Conakry du 18 au 22 Octobre 1999, dans le cadre d'un séminaire atelier sur les Technologies de l'information et de la communication, cinq (5) participants provenant des pays suivants: le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Guinée et le Sénégal ont passé des jours agréables à valoriser l'outil Internet et le courrier électronique.
Organisé par l'association mondiale Ecole Instrument de Paix en collaboration avec la Fondation du Devenir qui, toutes deux, se sont réellement dévouées à la cause en préparant des mois durant ledit atelier et ce, grâce à l'appui technique de la section EI.P-Québec puis de la structure ISOC Guinée, l'atelier a été un succès.
Des acquis: l'atelier m'a permis de découvrir et de me familiariser avec le logiciel Netscape Communicator, de découvrir le langage html ,la page web d'en concevoir une, de m'essayer à la rédaction d'un texte sur l'éducation aux droits humains (en association avec Maï) de faire des liens avec d'autres pages sur le site de EIP international et enfin de créer une page web.
Malgré le non accès à internet du 18 au 19 Octobre en Guinée, j'ai navigué comme je ne l'avais jamais fait auparavant parce que toute l'équipe d'encadrement a manifesté un intérêt et un dévouement remarquables pour le succès de l'atelier.
Je voudrais dire ma gratitude à Véronique Truchot et Jean Hénaire que j'ai rencontrés tous deux pour la première fois et de qui j'ai gardé de très bons souvenirs. Leur promptitude en matière d'assistance toutes les fois que j'ai été bloquée dans le maniement de l'ordinateur m'a impressionnée. Que Monique Prindezis et Alpha Oumar soient remerciés pour l'accueil et l'assistance.
Des suggestions
Vu que le séminaire n'a duré que cinq jours, je suggère que la formation soit renforcée ou que les contrats de formation avec le réseau Anaïs soient prolongés surtout pour la navigation.
Etant entendu que moi, je n'ai navigué que quatre fois depuis la signature du contrat, je souhaiterais que la Fondation du Devenir intervienne auprès de Oridev (structure formatrice au Bénin) pour que je jouisse d'une prolongation de mon contrat.
Certaine que la pratique régulière est le seul gage du perfectionnement, je proposerais si cela est possible que les sections africaines de l'EIP aient un soutien financier en vue de faire face aux charges liées à l'utilisation de l'Internet. Le soutien pourrait prendre la forme du remboursement partiel des factures de téléphone ou autres liées à l'utilisation de l'Internet. Mon souci est que notre beau projet n'évolue pas en dents de scie, faute de moyens.