Le 16 juin 2011, l'Union africaine célébrait la 21e édition de la Journée internationale de l'enfant africain sur le thème "TOUS ENSEMBLE POUR DES ACTIONS URGENTES EN FAVEUR DES ENFANTS DE LA RUE"
Dans un article récent, Lompo Joseph Dougoudia, s'intéresse aux enjeux de la violence en éducation sous l'angle des recherches à conduire pour mieux en documenter toutes ses dimensions : « Somme toute l’Afrique ne se voile plus les yeux sur un phénomène dont les conséquences sont innombrables sur la couche la plus jeune et fragile de sa population, relève de son développement.
UNESCO - Lancement d'un Partenariat public / privé pour l'éducation des femmes et des filles.
Il s’agit du titre d’un plaidoyer qu'a récemment publié Alain Refalo, professeur des écoles à Colomiers, dans la banlieue de Toulouse. Il est présenté comme l'initiateur du mouvement de désobéissance pédagogique chez les enseignants du primaire.
Un article du Monde diplomatique est consacré au déclin annoncé du modèle répressif suivi par les autorités scolaires de New York : « L’expérience new-yorkaise de sécurisation policière de écoles pourrait toutefois toucher à sa fin.
Compétences, esprit d’entreprise, autonomie des écoles, marchandisation, formation tout au long de la vie, processus de Bologne... Du fondamental à l’université, aucun niveau d’enseignement ne semble échapper à cette logique de la rentabilité. Un changement de paradigme éducatif a lieu sous nos yeux. Quels en sont déjà les effets et quelles résistances sont à développer ?
En Grande-Bretagne, un observatoire dédié à la non-violence
Ce dispositif d’observation et de compréhension des phénomènes d’agression, d’intimidation et de comportements antisociaux a pour objet d’améliorer le bien-être et l’équilibre émotionnel des enfants et des adolescents.
Aller à : http://www.ukobservatory.com/index.php
Voir aussi :
Le projet Sankoré vise l’appropriation par les Africains des technologies de l’nformation et de la communication. Son défi est de contribuer à atteindre l’objectif onusien de l’éducation pour tous.
« L’idée ne nous viendrait pas que la souris est clémente parce qu’elle se laisse dévorer par le chat », disait Gandhi, qui inspira à Martin Luther King et Nelson Mandela deux formes de combat divergentes. Sylvie Laurent s’interroge sur les limites de la non-violence, qui ne fut jamais pour le Mahatma qu’une forme particulière de la lutte. »
La vision sociale de l’éducation paraît en déclin au profit d’une rationalité économique, l’objectif étant désormais d’accroître la compétitivité et de caracoler en tête des classements internationaux. Au projet de renforcer la démocratie par l'éducation se substitue celui de la rentabilité par la formation.