L’EIP en réseau

Le 20 novembre, journée internationale des droits des enfants, la jeune militante pakistanaise pour le droit à l'éducation, Malala Yousafzaï, a reçu le prix Sakharov pour les droits de l'homme. 

Depuis la dictature d’Augusto Pinochet, rappelle-t-on, l’éducation a été privatisée. « Les étudiants doivent s’endetter sur dix ou quinze ans, parfois plus, pour pouvoir obtenir un diplôme. Un graal qui n’est pourtant pas toujours si légitime que ça.

Depuis la dictature d’Augusto Pinochet, rappelle-t-on, l’éducation a été privatisée. « Les étudiants doivent s’endetter sur dix ou quinze ans, parfois plus, pour pouvoir obtenir un diplôme. Un graal qui n’est pourtant pas toujours si légitime que ça.

À l'occasion du cinquantième anniversaire de l'UNESCO, le 16 novembre 1995, les États Membres de cette organisation adoptaient une Déclaration de principe sur la tolérance.

Le site « educa.ch » propose une série de liens à l'attention des enseignantes et des enseignants qui projettent d’entreprendre une activité pédagogique sur la Journée internationale des droits de l’enfant du 20 novembre prochain. Cette Journée marque l'anniversaire de la Convention relative aux droits de l'enfant adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989.

Maître Valérie Piau, avocate spécialisée en droit de l’éducation (1), livre son expertise sur 7 points clés des droits de l'élève.

Peut-on refuser d’inscrire dans un établissement scolaire un jeune étranger dont les parents sont arrivés en France de manière irrégulière ?

Le dernier numéro de Ventuno est consacré aux droits de l'enfant.

Les 14 et 15 novembre 2013 se tiendra à Genève la 2e Conférence nationale Jeunes et violence.

D'après le rapport de l'ONG Save the Children, le Niger est en tête des pays qui ont réduit avec le plus de succès la mortalité infantile depuis 1990.

Les enfants ne devraient jamais être soumis à quelque religion que ce soit, fut-elle celle de leurs parents. À cet égard, il est instructif de lire les propos que tenaient récemment Jean-Pierre Rosenczveig, président du Tribunal pour enfants de Bobigny, en France : « […] il est temps de dire que les enfants de France avant d’être catholiques, musulmans ou juifs sont français.