Invité par le Groupe de recherche sur l'éducation éthique et l'éthique en éducation (GREE) de l'Université du Québec à Montréal, Jacques Hébert, professeur à l'École de travail social de l’UQAM, présentait récemment une conférence publique intitulée : «Changement de paradigme pour une école non violente». La vidéo de cette conférence est accessible depuis le site du GREE.
« Cette communication s’appuie sur une étude de cas. Des paradigmes contradictoires coexistent au sein de plusieurs écoles. Émancipation ou soumission ? Démocratie ou conformité ? Devrions-nous accorder plus d’attention à identifier les écoles à risque de violence plutôt que de mettre l’accent sur le dépistage d’élèves dits à risque ?
Une école non violente demandera de sortir de ces injonctions paradoxales si elle désire exercer une influence positive et créer un climat empreint de paix. »