L'interdiction et l'élimination des châtiments corporels des enfants demeurent une préoccupation dans plusieurs parties du monde. Bien que 46 États aient interdit tout châtiment corporel des enfants et qu’au moins 50 autres États se soient engagés à l'interdire, il reste néanmoins beaucoup de progrès à faire.
Le monument aux morts de Gentioux, en France, commémore les disparus de la première guerre mondiale. L’ouvrage est particulier en ce qu’il est constitué d’un écolier le poing tendu vers l’inscription « Maudite soit la guerre ». Inauguré en 1922 par la population et les autorités locales, il ne fut reconnu par les autorité préfectorales qu’en 1985.
Initiative mondiale pour mettre fin à tous les châtiments corporels des enfants (Global Initiative to End All Corporal Punishment of Children) a récemment annoncé le lancement de son nouveau site qui fournit des informations mises à jour sur les progrès réalisés pour mettre fin aux châtiments corporels des enfants, « des guides sur le p
« Un voyage autour du monde à moto avec le livre « Le Petit Prince ». S’arrêtant dans des écoles sur le chemin, qui auront préalablement effectué un travail sur le livre avec les enfants, ces derniers s’exprimeront par des dessins sur une sélection de thèmes choisis.
Le quotidien Le Monde nous apprend que « dans la longue liste des établissements français à l’étranger homologués, il y a bien un lycée dont la pudeur ne peut souffrir de montrer le poitrail nu de la Liberté au bonnet phrygien… celui de Koweït City.
« Dormir avec son arme sous l'oreiller, la glisser entre ses affaires de cours ou dans son sac de sport : voilà quelques-uns des privilèges auxquels les étudiants des universités texanes auront bientôt accès.
Le 16 juin 2015, l'Union africaine célébrera la 25e édition de la Journée internationale de l'enfant africain (JEA) conformément à la résolution CM/Res.1290 (XL).
C'est en 2002 que l’Organisation internationale du Travail (OIT) a lancé la première Journée mondiale contre le travail des enfants.
Sept ans et 6750 témoignages plus tard, la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR), qui était chargée de faire la lumière sur le régime des pensionnats autochtones, conclue que le Canada « a participé à un génocide culturel ».