Depuis des mois, des milliers de jeunes (et de moins jeunes) manifestent sous différentes formes leur inquiétude face à l’avenir de notre société ; c’est une inquiétude profonde qui dépasse largement le problème des droits de scolarité. Les « indignés », les casseroles et des mouvements tels qu’Occupy Wall Street s’inscrivent dans le même contexte.
La Commission fédérale suisse pour les questions féminines vient de publier un guide consacré à la Convention de l’ONU sur les droits des femmes.
Selon le CRIN (Child Rights Information Network), un nombre croissant d'États criminalisent davantage d'enfants et à des âges plus jeunes. L'organisation suggère de séparer la notion de responsabilité pénale de celle de la criminalisation qui entraîne les enfants dans une spirale de nouvelles infractions et une délinquance de plus en plus violente qui persiste souvent à l'âge adulte.
Depuis plusieurs semaines déjà, lycéens et étudiants québécois poursuivent leur lutte commune contre la décision du gouvernement libéral de hausser les frais de scolarité dans les établissements d’enseignement supérieur.
Un rapport de la Cour des comptes montre que l'État donne plus à ceux qui on déjà plus et moins à ceux et celles qui auraient pourtant le plus besoin. Un favoritisme qui s'accroît et qui tend à suggérer que la République est de plus en plus celle des mieux nantis. Un constat qui, à la veille des élections présidentielles, fait figure de sanction.
Voici un film réalisé en janvier 2011 dans un gros village du sud-ouest du Mali : Sélinkégny, village sarakolé (ou soninké) d'environ deux mille habitants situé dans la région de Kayes, jumelée depuis 1994 avec la région Nord-Pas-de-Calais.
Bien que plus de 1,5 milliard de personnes vivent actuellement dans des États fragiles et affectés par des conflits, il existe un moyen essentiel de promouvoir la paix, même au milieu du désordre : l'éducation, selon un rapport commandité par l’UNICEF.
Lancé en 2007 par l'UNICEF en partenariat avec l'organisme Child to Child Trust, le programme pilote « Se préparer pour l'école : une approche d'enfant à l'enfant » a été couronné de succès.
Les guerres sont depuis longtemps un des objets d'études privilégiés des manuels scolaires. Comment ceux-ci peuvent-ils en traiter sans devenir des instruments de propagande? Comment une réflexion sur l'histoire en tant que discipline scientifique peut contribuer à traiter des conflits dans une perspective qui participe de la compréhension d'un phénomène et d'une réflexion sur le vivre ensemble?