Le lobby des armes tire cette fois prétexte de la tuerie dans une école du Connecticut pour relancer le débat sur le port d'armes dans les établissements scolaires.
Une tuerie dans une école primaire du Connecticut a provoqué la mort de près de 30 personnes dont 20 enfants, selon un bilan provisoire.
Selon l'ONU, la pauvreté touchant les enfants canadiens s'est aggravée au cours des dix dernières années. Et la situation est davantage préoccupante chez les autochtones où un enfant sur quatre souffre de pauvreté.
Le ministère français de l'Éducation nationale vient de publier les résultats d'une enquête sur la victimation conduite en 2011 auprès de 18 000 élèves de collèges publics.
Entré en vigueur le 1er juillet 2010, cet instrument juridiquement contraignant du Conseil de l'Europe s'inscrit dans la lutte contre l’exploitation sexuelle et les abus sexuels concernant des enfants.
Dans un rapport publié le 15 novembre, Human Rights Watch dénonce le travail des enfants travaillant comme domestiques au Maroc.
Une sociologue à l’Université de Cergy-Pontoise, en France, se propose, en réaction aux nombreux cas d’agressions recensés en ce début d’année scolaire, de répondre aux questions suivantes : « peut-on penser les violences scolaires sans questionner à la fois les inégalités scolaires (sociales, sexuelles, ethniques, culturelles) ?
« Les chercheurs ont analysé le contenu des 50 émissions de télévision les plus populaires chez les enfants de 2 à 11 ans aux États-Unis.
Comment se manifeste la violence en milieu scolaire ? Toutes les violences sont-elles de même nature ? Les degrés de tolérance sont-ils les mêmes partout ? Le documentaire «Une histoire de climat» de Véronique Garcia tente de répondre à ces questions.
Un rapport alternatif des ONG suisses à l'occasion de l'Examen périodique universel 2012 indique que « Le Tribunal fédéral a déclaré nombres d’actes de violence comme incompatibles avec les droits de l’enfant, mais cette jurisprudence reste quasiment inconnue du grand public et elle n’exclut par ailleurs pas de manière conséquente les châtiments corporels comme