Un rapport de Défense des enfants international (DEI) dresse un bilan de la contribution de la société civile – par l’action directe, la pression politique et d’autres formes de plaidoyer – visant à faire en sorte que les normes internationales existantes soient transposées dans les législations nationales, permettant ainsi d’améliorer le sort des enfants en conflit avec la loi. […].
Des prix Nobel ont demandé ces jours derniers le retrait d'une émission de télé-réalité de la NBC, où des célébrités jouent à la guerre.
L’annonce de la suppression du tribunal correctionnel pour mineurs par Christine Taubira, nouvelle garde des sceaux, marque un tournant en matière de politique pénale à l’encontre des mineurs.
Selon le CRIN (Child Rights Information Network), un nombre croissant d'États criminalisent davantage d'enfants et à des âges plus jeunes. L'organisation suggère de séparer la notion de responsabilité pénale de celle de la criminalisation qui entraîne les enfants dans une spirale de nouvelles infractions et une délinquance de plus en plus violente qui persiste souvent à l'âge adulte.
« Des chasseurs alpins bavarois ont fait participer des bambins à une attaque simulée sur une ville du Kosovo.
Des soldats allemands ont organisé des jeux de guerre pour enfants, le week-end du 28 mai, lors d'une journée «portes ouvertes» sur la base d'un régiment de chasseurs alpins en Bavière, simulant une attaque sur une ville du Kosovo.
Dans un article récent, Lompo Joseph Dougoudia, s'intéresse aux enjeux de la violence en éducation sous l'angle des recherches à conduire pour mieux en documenter toutes ses dimensions : « Somme toute l’Afrique ne se voile plus les yeux sur un phénomène dont les conséquences sont innombrables sur la couche la plus jeune et fragile de sa population, relève de son développement.
« L’idée ne nous viendrait pas que la souris est clémente parce qu’elle se laisse dévorer par le chat », disait Gandhi, qui inspira à Martin Luther King et Nelson Mandela deux formes de combat divergentes. Sylvie Laurent s’interroge sur les limites de la non-violence, qui ne fut jamais pour le Mahatma qu’une forme particulière de la lutte. »