L’EIP en réseau

C’est le 8 septembre que sera célébrée la 46ème Journée internationale de l'alphabétisation. Proclamée par l’UNESCO en 1965, cette Journée est l’occasion de rappeler à la communauté internationale que l’alphabétisation est un droit humain et qu’elle est la base de tout apprentissage.

L'UNESCO vient de publier un outil pédagogique qui s'adresse « aux enseignants du primaire et du secondaire, ainsi qu’aux décideurs de niveau intermédiaire chargés de l’enseignement primaire et secondaire. L’ouvrage intéressera également les formateurs qui travaillent avec les enseignants dans le cadre de la formation initiale. »

Des prix Nobel ont demandé ces jours derniers le retrait d'une émission de télé-réalité de la NBC, où des célébrités jouent à la guerre.

Les progrès marqués de la Corée du sud en matière d'éducation doivent, certes, être mentionnés. Si les élèves de ce pays se classent parmi les premiers aux tests PISA de l'OCDE, il reste que son système éducatif s'inscrit d'emblée dans la dynamique de l'éducation néo-libérale.

Pôle de Dakar UNESCO-BREDA a publié cette année une étude intitulée « Les dépenses des ménages en éducation Une perspective analytique pour 15 pays d'Afrique »

C'est aujourd'hui que le Japon commémore la destruction de la ville d'Hiroshima et la mort de 140 000 habitants par une bombe atomique, le 6 août 1945. Ce bombardement avait été suivi trois jours plus tard par celui de Nagasaki, qui avait tué 70 000 personnes. Ces attaques entraînèrent la capitulation du Japon et la fin de la seconde guerre mondiale, le 15 août 1945.

Les menaces de marchandisation de l’école sont bien réelles et, partant, la mainmise du néolibéralisme sur la res publica. Mais la lutte à mener face à cette tendance ne doit pas être confondu avec un certaine posture réactionnaire qui refuse que l'École évolue avec son temps et s'inscrive au sein des grands défis contemporains de l'humanité.

L’annonce de la suppression du tribunal correctionnel pour mineurs par Christine Taubira, nouvelle garde des sceaux, marque un tournant en matière de politique pénale à l’encontre des mineurs.

Une manifestation pour demander aux autorités gouvernementales une éducation gratuite et de qualité a rassemblé 150 000 personnes, selon les organisateurs, alors que l’impasse persiste.

Le ministère tunisien de la Femme s'inquiète de la multiplication des jardins d’enfants fondés par des associations religieuses.