Entré en vigueur le 1er juillet 2010, cet instrument juridiquement contraignant du Conseil de l'Europe s'inscrit dans la lutte contre l’exploitation sexuelle et les abus sexuels concernant des enfants.
La célébration de cet évènement nous rappelle que le 20 novembre 1989, l'Assemblée générale des Nations Unies adoptait la Convention relative aux droits de l'enfant. Il s'agit de l'instrument juridique ratifié par le plus grand nombre d'États dans le monde.
Dans un rapport publié le 15 novembre, Human Rights Watch dénonce le travail des enfants travaillant comme domestiques au Maroc.
D'après un récent article paru dans la Revue des droits de l'homme, « Le dispositif onusien en matière d’enseignement des droits de l’Homme présente deux versants : l’un juridique, l’autre politique. Qu’elles soient de nature juridique, ou politique, les initiatives internationales demeurent vaines car elles souffrent de nombreuses lacunes et imperfections ».
UNICEF Canada et le Réseau ontarien d’éducation juridique (ROEJ) se sont associés pour élaborer une ressource didactique interactive, intitulée Les droits des enfants : c’est essentiel, destinée aux élèves du secondaire en vue d’améliorer leur compréhension des droits de l’enfant.
Ce dispositif a pour objectif de faire l’analyse critique des politiques en direction des groupes dits roms/tsiganes et des processus de catégorisation qui sous-tendent ces politiques, tout en examinant de près les stratégies et les pratiques d’intégration qui sont d’abord le fait des populations elles-mêmes.
Une sociologue à l’Université de Cergy-Pontoise, en France, se propose, en réaction aux nombreux cas d’agressions recensés en ce début d’année scolaire, de répondre aux questions suivantes : « peut-on penser les violences scolaires sans questionner à la fois les inégalités scolaires (sociales, sexuelles, ethniques, culturelles) ?
L'Institut international des droits de l'enfant était récemment l'hôte d'un séminaire sur les droits de l'enfant et le monde des affaires.
Le Haut Commissaire aux droits de l'homme des Nations Unies a déposé, en juin dernier, son Rapport intermédiaire sur la mise en œuvre du Programme mondial d’éducation dans le domaine des droits de l’homme.
Fort heureusement, le président pakistanais n’est pas le seul à penser que les Talibans qui ont grièvement blessé la jeune adolescente Malala Yousafzai niaient dans la plus extrême des violences le droit universel des filles à l’éducation.