La Journée internationale pour l'élimination de la discrimination raciale a été proclamée en 1966, par l’Assemblée générale des Nations Unies pour commémorer le massacre de Sharpville.
Le 12 juillet 2012, l'Assemblée générale des Nations Unies proclamait le 20 mars Journée internationale du bonheur. Par la résolution 66/281, l’Organisation reconnait que « le bonheur et le bien-être sont non seulement des aspirations universelles mais qu’ils devraient être pris en compte dans les objectifs politiques. »
La majorité des enfants du monde vivra bientôt dans des villes, petites ou grandes, écrit l'UNICEF. En 2050, poursuit-on, sept personnes sur dix vivront en ville. Chaque année, la population mondiale gagne environ 60 millions d’habitants. L'on rappelle par ailleurs qu'une part importante de la croissance démographique urbaine a lieu dans les implantations sauvages et autres quartiers défavorisés.
Le GMR (Global Monitoring Report) - ou Rapport mondial de suivi sur l'EPT (Éducation pour tous) - vient de publier un document montrant « un déficit de financement annuel de 38 milliards de dollars US pour atteindre l'objectif d'une éducation de base et d'un premier cycle du secondaire de qualité, et veiller à atteindre les personnes les plus marginalisées.
Dans le monde d'aujourd'hui, jusqu'à 50% des agressions sexuelles sont comises sur des filles de moins de 16 ans; 603 million de femmes au monde vivent dans des pays où la violence domestique n'est pas un crime; jusqu'à 70% des femmes à travers le monde ont subi des violences physiques et/ou sexuelles au moins une fois au cours de leur vie…
Stéphane Hessel est mort la nuit dernière à l’âge de 95 ans. Ce grand résistant, amoureux de la poésie, fut secrétaire à la rédaction de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
« Un documentaire devant lequel on ne peut rester indifférent et qui provoquera le débat. Et c’est sans doute son but et sa plus grande qualité : encourager professeurs, parents et élèves à prendre position, à témoigner, à se mobiliser pour chercher des solutions. »
Le rapport du Conseil International des ONG sur la Violence contre les Enfants décrit les violations fondées sur la tradition, la culture, la religion ou la superstition. Celles-ci sont « perpétrées et ouvertement tolérées par les parents de l'enfant et les adultes important au sein de sa communauté.
« Dans le monde entier, des milliers de garçons et de filles sont recrutés par des forces armées gouvernementales et des groupes rebelles pour servir de combattants ou de « petites mains ».
À l'occasion de la Journée internationale de la tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines (MGF), le 6 février dernier, l'ONU publiait de nouvelles données selon lesquelles moins de filles seraient désormais soumises à ces pratique.