La réforme scolaire turque a pour effet, dès la rentrée 2012, de faire passer l'obligation scolaire de 8 à 12 ans. Ainsi, la fréquentation du lycée est désormais obligatoire. À mentionner également l'introduction de cours de langues vivantes autres que l'anglais tels le français, l'arabe ou même le kurde.
Une manifestation pour demander aux autorités gouvernementales une éducation gratuite et de qualité a rassemblé 150 000 personnes, selon les organisateurs, alors que l’impasse persiste.
Selon l'Organisation pour la coopérations et le développement économiques (OCDE) « les politiques d’éducation qui mettent l’accent sur l’équité peuvent constituer, à terme, un moyen efficace d’accroître la mobilité des revenus entre les générations et de réduire les inégalités de revenus. » (1) Peut-on encore y croire ?
Depuis des mois, des milliers de jeunes (et de moins jeunes) manifestent sous différentes formes leur inquiétude face à l’avenir de notre société ; c’est une inquiétude profonde qui dépasse largement le problème des droits de scolarité. Les « indignés », les casseroles et des mouvements tels qu’Occupy Wall Street s’inscrivent dans le même contexte.
Depuis plusieurs semaines déjà, lycéens et étudiants québécois poursuivent leur lutte commune contre la décision du gouvernement libéral de hausser les frais de scolarité dans les établissements d’enseignement supérieur.
Un rapport de la Cour des comptes montre que l'État donne plus à ceux qui on déjà plus et moins à ceux et celles qui auraient pourtant le plus besoin. Un favoritisme qui s'accroît et qui tend à suggérer que la République est de plus en plus celle des mieux nantis. Un constat qui, à la veille des élections présidentielles, fait figure de sanction.
Voici un film réalisé en janvier 2011 dans un gros village du sud-ouest du Mali : Sélinkégny, village sarakolé (ou soninké) d'environ deux mille habitants situé dans la région de Kayes, jumelée depuis 1994 avec la région Nord-Pas-de-Calais.
Bien que plus de 1,5 milliard de personnes vivent actuellement dans des États fragiles et affectés par des conflits, il existe un moyen essentiel de promouvoir la paix, même au milieu du désordre : l'éducation, selon un rapport commandité par l’UNICEF.
Lancé en 2007 par l'UNICEF en partenariat avec l'organisme Child to Child Trust, le programme pilote « Se préparer pour l'école : une approche d'enfant à l'enfant » a été couronné de succès.
Les guerres sont depuis longtemps un des objets d'études privilégiés des manuels scolaires. Comment ceux-ci peuvent-ils en traiter sans devenir des instruments de propagande? Comment une réflexion sur l'histoire en tant que discipline scientifique peut contribuer à traiter des conflits dans une perspective qui participe de la compréhension d'un phénomène et d'une réflexion sur le vivre ensemble?