Dans un mémoire soutenu récemment à l'Université de Montréal, l'auteure fait état des ressources mobilisées par cinq enseignantes québécoises et cinq enseignantes roumaines devant la violence scolaire, et de leur capacité à être "résilientes", c'est à dire à rebondir après le choc émotionnel.
«Les enfants ont, au même titre que les adultes, le droit au respect de leur dignité humaine et de leur intégrité physique, et à la protection de la loi.
En France, un accord cadre entre l’Académie de Reims et les forces armées a récemment été conclu.
Le Texas s’apprêterait à autoriser les étudiants et les enseignants à porter une arme sur le campus de leur université, selon une dépêche d’Associated Press, rapportée par USA Today.
Ce dispositif d’observation et de compréhension des phénomènes d’agression, d’intimidation et de comportements antisociaux a pour objet d’améliorer le bien-être et l’équilibre émotionnel des enfants et des adolescents.
Aller à : http://www.ukobservatory.com/index.php
Depuis novembre 2010, les autorités de Séoul ont aboli le recours aux châtiments corporels dans les écoles. Cette mesure ne plaît cependant pas à plusieurs enseignants d’un pays imprégné de culture militaire et où les punitions physiques sont tolérées, voir encouragées, rapporte l’agence France-Presse.
« Au Royaume-Uni : Le retour de la férule »