Dans son dernier Rapport mondial de suivi sur l’éducation pour tous (EPT), l’UNESCO souligne que la crise financière mondiale fait peser aujourd’hui une grave menace sur le droit à l’éducation.
Selon l’Indice mondial de la paix 2009 (« Global Peace Index ») établi par Vision of Humanity, sept des dix premiers pays au classement sont européens, bien que ce soit la Nouvelle-Zélande qui occupe le sommet.
On apprend, dans l’édition du 20 janvier dernier du quotidien Lyon Capitale, que les autorités de la ville avaient apporté leur soutien financier à « Street Wars », un jeu de rôle grandeur nature qui appelle les participants à simuler des meurtres à l’aide de pistolets à eau.
ARTE, la chaîne franco - allemande, nous apprenait récemment qu’au Maroc les autorités du pays accordent désormais aux familles les plus pauvres une compensation financière de six à dix euros par mois s’ils décident d’envoyer leurs enfants à l’école plutôt que de les faire travailler.
Le monde de l’éducation est l’objet d’une offensive menée d’un pas de guerre par les créationnistes alors même que nous célébrons cette année le 200e anniversaire de naissance de Charles Darwin, le naturaliste anglais dont la théorie de l’évolution a profondément révolutionné la biologie.
La notion de bien commun s’étiole au point de n’être devenue qu’un simple ersatz d’une pensée philosophique et politique jadis inspirée.
Une récente étude réalisée par deux chercheurs de l’Université de Londres pour le compte de l’Internationale de l’éducation met en lumière la privatisation rampante de l’enseignement public.
Julius Robert Oppenheimer fut l’un des principaux artisans du projet Manhattan qui mena à la construction de la première bombe atomique. Celle-ci provoqua la destruction d’Hiroshima, puis de Nagasaki, au Japon, en 1945. Tel fut le résultat du déclenchement de la première guerre nucléaire de l’humanité.
Avec l’adoption de l’examen périodique universel (EPU) par le Conseil des droits de l’homme, les organisations non gouvernementales (ONG) ont sans doute raison de penser que ce dispositif est l’occasion pour elles de faire entendre la voix de la société civile.
La dernière édition du Rapport de l’UNESCO sur l’éducation pour tous laisse planer l’incertitude sur les probabilités d’atteindre l’objectif visant l’accès de tous à l’éducation (EPT) à l’horizon 2015.