La Journée internationale des droits de l’enfant est célébrée chaque année le 20 novembre afin de rappeler l'adoption par l'Assemblée générale des Nations Unies de la Convention relative aux droits de l'enfant, en 1989. Il s'agit de l'instrument juridique ratifié par le plus grand nombre d'États dans le monde.
Les tragiques attentats dont Paris vient d’être l'objet devraient nous rappeler que, face à de tels actes de barbarie, il ne saurait être question de tolérance. Pas uniquement en raison de toutes ces innocentes victimes, mais aussi de toutes celles frappées d’atrocités innommables à travers le monde. Nous disons « Non!
Des milliers d’’étudiantes se sont mobilisés pour réclamer la gratuité des études et un recul du gouvernement sur son projet de transformer les bourses universitaires en prêts.
Ainsi, écrit-on « A l’école primaire de Flastroff, en Moselle, les enfants ont, eux, testé de vrais fusils d’assaut, des Famas. En atteste la photo du Républicain lorrain, montrant une brochette d’enfants de près de 10 ans alignés devant leur arme tels des snipers en embuscade.
Un artiste argentin déclare la guerre à l'ignorance en sillonant villes et villages avec son arme d’instruction massive.
« À bord de son char baptisé « Weapon of Mass Instruction« , Raul Lemesoff distribue gratuitement les 900 livres qu’il peut transporter. L’artiste récupère des munitions via des dons de particuliers »
En 2001, l’Assemblée générale de l’ONU déclarait la journée du 21 septembre Journée Internationale de la Paix (*). Depuis lors, cette Journée est célébrée chaque année comme journée annuelle de non-violence et de cessez-le-feu.
L'interdiction et l'élimination des châtiments corporels des enfants demeurent une préoccupation dans plusieurs parties du monde. Bien que 46 États aient interdit tout châtiment corporel des enfants et qu’au moins 50 autres États se soient engagés à l'interdire, il reste néanmoins beaucoup de progrès à faire.
Le monument aux morts de Gentioux, en France, commémore les disparus de la première guerre mondiale. L’ouvrage est particulier en ce qu’il est constitué d’un écolier le poing tendu vers l’inscription « Maudite soit la guerre ». Inauguré en 1922 par la population et les autorités locales, il ne fut reconnu par les autorité préfectorales qu’en 1985.
Initiative mondiale pour mettre fin à tous les châtiments corporels des enfants (Global Initiative to End All Corporal Punishment of Children) a récemment annoncé le lancement de son nouveau site qui fournit des informations mises à jour sur les progrès réalisés pour mettre fin aux châtiments corporels des enfants, « des guides sur le p
« Un voyage autour du monde à moto avec le livre « Le Petit Prince ». S’arrêtant dans des écoles sur le chemin, qui auront préalablement effectué un travail sur le livre avec les enfants, ces derniers s’exprimeront par des dessins sur une sélection de thèmes choisis.