Le 25 septembre 2013, le Centre international de formation à l’enseignement des droits de l’homme et de la paix (CIFEDHOP) et l’Association mondiale pour l’école, instrument de paix (EIP) ont organisé un colloque international sur la mise en oeuvre de la Déclaration des Nations Unies sur l’éducation et la formation aux droits de l’homme<
Le passé récent de la Côte d'Ivoire a été marqué par des crises qui ont fragilisé le tissu social avec comme corollaire la dégradation des valeurs sociales et l'affaiblissement de l'autorité de l'Etat.
L’année 2012/2013 aura été pour le Burkina Faso une année de toutes les grandes contradictions. En effet, au plan économique et social les couches les plus marginalisées vivent dans une misère croissante qui fait croire que l’insouciance devant le pire cas des autres nourrit les autorités du pays.
L’EIP-Sénégal a mené plusieurs activités durant cette année allant des conférences, des expositions dans les écoles aux célébrations de journées internationales et aux ateliers de formation en Casamance sur la résolution des conflits avec Amnesty-Sénégal.
Cette formation est Organisée par l’ONG tunisienne Kistas pour le développement de la démocratie et la défense des droits de l’homme, avec l’appui conjoint du Codap et du Bureau national du Haut Commissariat aux Droits de l’Homme (HCDH), la formation s’est déroulée du 26 mai au 2 juin à Aïn Soltane, à 150 km de Tunis. Le cours a réuni 28 jeunes activistes provenant de diverses régions de Tunisie.
Les objectifs de la formation :
EIP training on Human Rights & Peace Education stats after the lighting of the lamp by dignitaries and guests. Dr. Mishra, Master Peace India welcomes the guest and participants. Message of Monique, Secretary General of EIP-International, read and distributed to the participants.
Le 20 novembre, journée internationale des droits des enfants, la jeune militante pakistanaise pour le droit à l'éducation, Malala Yousafzaï, a reçu le prix Sakharov pour les droits de l'homme.
Depuis la dictature d’Augusto Pinochet, rappelle-t-on, l’éducation a été privatisée. « Les étudiants doivent s’endetter sur dix ou quinze ans, parfois plus, pour pouvoir obtenir un diplôme. Un graal qui n’est pourtant pas toujours si légitime que ça.
Maître Valérie Piau, avocate spécialisée en droit de l’éducation (1), livre son expertise sur 7 points clés des droits de l'élève.
Peut-on refuser d’inscrire dans un établissement scolaire un jeune étranger dont les parents sont arrivés en France de manière irrégulière ?