« Avec la même régularité, les médias se trompent quand il s'agit de violence scolaire. Ils ne s'intéressent qu'aux formes les plus exceptionnelles de violence exercées par un jeune sur un adulte. D'où l'idée de partager ce que les études établissent. Viendra-t-on à bout de la violence scolaire ? Sans doute pas.
La nouvelle première ministre québécoise, Pauline Marois, a annoncé que son gouvernement avait annulé la hausse des frais universitaires décrétée par le gouvernement libéral sortant. Par ailleurs, la question du financement des universités fera l'objet d'un sommet sur l'enseignement supérieur qui se tiendra sous peu. En outre, le nouveau gouvernement a adopté, le 21 sept
Le ministère français de l'Éducation sera bientôt doté d'un dispositif d'observation de la violence à l'école. L'intention générale est de savoir comment « on transmet la connaissance sur la violence à l'école dans l'action publique, au niveau national, académique, local.
La réforme scolaire turque a pour effet, dès la rentrée 2012, de faire passer l'obligation scolaire de 8 à 12 ans. Ainsi, la fréquentation du lycée est désormais obligatoire. À mentionner également l'introduction de cours de langues vivantes autres que l'anglais tels le français, l'arabe ou même le kurde.
Pour la troisième année consécutive, le nombre total d'actes de violence d'une certaine gravité recensés durant l'année scolaire dans les établissements publics d'enseignement est en diminution, signale-t-on.
Un rapport de Défense des enfants international (DEI) dresse un bilan de la contribution de la société civile – par l’action directe, la pression politique et d’autres formes de plaidoyer – visant à faire en sorte que les normes internationales existantes soient transposées dans les législations nationales, permettant ainsi d’améliorer le sort des enfants en conflit avec la loi. […].
Des prix Nobel ont demandé ces jours derniers le retrait d'une émission de télé-réalité de la NBC, où des célébrités jouent à la guerre.
L’annonce de la suppression du tribunal correctionnel pour mineurs par Christine Taubira, nouvelle garde des sceaux, marque un tournant en matière de politique pénale à l’encontre des mineurs.
Une manifestation pour demander aux autorités gouvernementales une éducation gratuite et de qualité a rassemblé 150 000 personnes, selon les organisateurs, alors que l’impasse persiste.
Selon l'Organisation pour la coopérations et le développement économiques (OCDE) « les politiques d’éducation qui mettent l’accent sur l’équité peuvent constituer, à terme, un moyen efficace d’accroître la mobilité des revenus entre les générations et de réduire les inégalités de revenus. » (1) Peut-on encore y croire ?