Depuis des mois, des milliers de jeunes (et de moins jeunes) manifestent sous différentes formes leur inquiétude face à l’avenir de notre société ; c’est une inquiétude profonde qui dépasse largement le problème des droits de scolarité. Les « indignés », les casseroles et des mouvements tels qu’Occupy Wall Street s’inscrivent dans le même contexte.
En 2001, l’Assemblée générale de l’ONU déclarait la journée du 21 septembre Journée Internationale de la Paix. Depuis lors, cette Journée est célébrée chaque année comme journée annuelle de non-violence et de cessez-le-feu.
C'est en 2002 que l’Organisation internationale du Travail (OIT) a lancé la première Journée mondiale contre le travail des enfants. Le 12 juin 2012 marque donc le 10e anniversaire de cette Journée dont l’objectif est de « servir de catalyseur au mouvement mondial contre le travail des enfants ».
« Chaque jour des millions de personnes souffrent des conséquences directe et indirectes d'un commerce des armes irresponsable. Des milliers sont tués, blessés, violés et forcés de fuir leurs maisons par la faute d'un manque de rigueur dans le contrôle de ces transferts.
La Commission fédérale suisse pour les questions féminines vient de publier un guide consacré à la Convention de l’ONU sur les droits des femmes.
Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (’UNICEF) vient de faire paraître son plus récent rapport sur l’état de pauvreté et des privations dont sont victimes les enfants au sein des économies avancées. Dans les 35 pays étudiés, plus de 30 millions d’enfants vivent dans l’indigence.
C'est du 15 au 17 mai derniers que l'EIP Slovenija-Šola za mir a participé à « Maribor pour la paix 2012 » dans le cadre du projet « Capitale européenne de la culture ».
L'Observatoire international de la violence à l'école est une organisation non gouvernementale qui vise, entre autres, le rassemblement, l’encouragement et la dissémination des études scientifiques pluridisciplinaires du phénomène de la violence en milieu scolaire : http://www.ijvs.org/
Selon le CRIN (Child Rights Information Network), un nombre croissant d'États criminalisent davantage d'enfants et à des âges plus jeunes. L'organisation suggère de séparer la notion de responsabilité pénale de celle de la criminalisation qui entraîne les enfants dans une spirale de nouvelles infractions et une délinquance de plus en plus violente qui persiste souvent à l'âge adulte.
Depuis plusieurs semaines déjà, lycéens et étudiants québécois poursuivent leur lutte commune contre la décision du gouvernement libéral de hausser les frais de scolarité dans les établissements d’enseignement supérieur.