C'est ce que nous apprend une étude réalisée par des chercheurs canadiens. Les résultats de cette recherche indiquent que les personnes ayant reçu des fessées ont entre 2 % et 7 % de chances supplémentaires de présenter des pathologies mentales une fois adultes.
Depuis qu'il a été condamné, le 17 février, à 1 000 euros d'amende avec sursis pour avoir giflé un adolescent de son village qui escaladait un grillage, Maurice Boisart, 63 ans, maire de Cousolre (Nord), a reçu plus de mille cinq cents messages de soutien.
Le 7 février 2012 la Presse canadienne faisait état d'une analyse des études portant sur le châtiment corporel, selon laquelle : « Les enfants qui subissent des châtiments corporels ont tendance à être plus agressifs envers leurs parents, leurs frères et sœurs, leurs amis et, plus tard, leur conjoint. »
« Le 20 octobre, quelque 400 psychothérapeutes, dont une grande majorité de femmes, assistaient au colloque annuel de la Fédération française de psychothérapie et psychanalyse (FF2P) intitulé "Attachement, empathie et violence éducative".
L’élimination des châtiments corporels des enfants en Afrique, tel est le thème du Bulletin d'août 2011 publié par Global Initiative et
Source : Child Rights Information Network : http://www.crin.org/francais/index.asp
Une question récurrente à laquelle Jacques Trémintin tentait d'apporter une réponse dans un article paru en 1999, mais toujours d'actualité.
«Les enfants ont, au même titre que les adultes, le droit au respect de leur dignité humaine et de leur intégrité physique, et à la protection de la loi.
Depuis novembre 2010, les autorités de Séoul ont aboli le recours aux châtiments corporels dans les écoles. Cette mesure ne plaît cependant pas à plusieurs enseignants d’un pays imprégné de culture militaire et où les punitions physiques sont tolérées, voir encouragées, rapporte l’agence France-Presse.